Le CNDD-FDD fait du poste de l'Ombudsman la rançon de ses hommes de paille Tutsis
Ancienne membre de la cour constitutionnelle, la grande histoire du Burundi la retiendra en effet comme l'une des artisans clés du 3ème mandat ravageur comme le brave Sylvère Nimpagaritse, à l'époque vice-président de la cour constitutionnelle, en a fait un poignant témoignage. Kanyana serait donc l'alter ego de Nduwimana. Car de l'avis de nombreux observateurs, c'est du pareil au même. Les deux militants zélés du CNDD-FDD s'équivalent intrinsèquement.
Aimée Laurentine Kanyana, actuel chef de cabinet civil adjoint à la présidence de la République, a été élue nouvel Ombudsman du Burundi en remplacement d'Edouard Nduwimana.
Sur recommandation/ordre du chef de l'Etat, les députés du parti présidentiel l'ont plébiscité à 109 voix sur 120. A la présidence de la République, ses proches disent d'elle qu'elle était chargée des marchés secrets/sucrés estampillés de souveraineté. Plus qu'une promotion, sa nomination rime avec récompense du chef de l'Etat.
Ancienne ministre de la justice, elle s'était illustrée dans la répression et l'emprisonnement aveugle de tous ceux qui s'étaient mis en travers de la route du défunt président, Pierre Nkurunziza, dans sa course pour le 3ème mandat illégal.
Elle passera à la postérité comme une femme de paille qui aura fait de la justice burundaise un instrument de la répression du régime CNDD-FDD. Aimée Laurentine Kanyana est fichée au rang des tutsis. Tout comme Edouard Nduwimana, son prédécesseur à son nouveau poste d'Ombudsman.
Davantage. Aimée Laurentine Kanyana marquera la postérité comme l'une des responsables des malheurs inhérents au 3ème mandat présidentiel de feu Pierre Nkurunziza.
Ancienne membre de la cour constitutionnelle, la grande histoire du Burundi la retiendra en effet comme l'une des artisans clés du 3ème mandat ravageur comme le brave Sylvère Nimpagaritse, à l'époque vice-président de la cour constitutionnelle, en a fait un poignant témoignage.
Kanyana serait donc l'alter ego de Nduwimana. Car de l'avis de nombreux observateurs, c'est du pareil au même. Les deux militants zélés du CNDD-FDD s'équivalent intrinsèquement.
Pour rappel, avant d'être catapulté au poste d'Ombudsman, Edouard Nduwimana, alors ministre de l'Intérieur, s'était énergiquement illustré dans la déconstruction des partis d'opposition et la chosification des opposants de tous bords.
Ainsi donc, tout semble indiquer que le parti CNDD-FDD a fait du poste de l'Ombudsman la rançon de ses hommes de paille cyniquement issus de la communauté ethnique tutsie.
